Nous avons construit un monde en suivant les préceptes et les les tendances naturelles propres à celui qui conquière un environnement. Celui-ci a dû être perçu -peut-être à l’issue de certaines mauvaises expériences ?- comme difficile d’accès, compliqué dans sa nature et vraiment pas simple à comprendre. C’est un monde construit par les hommes, et mû par des fonctions propres aux réflexes des hommes, similaires à ceux qu’il doit développer, au quotidien face au monde… des femmes …
Nos sociétés sont donc ainsi composées : de femmes et d’hommes certes, mais avec force donnée à ces derniers (en occident comme ailleurs) d’évoluer dans une structure qui obéit à leur propre vision du monde… laissé à la femme de s’y adapter, que ça lui plaise ou pas : c’est la force qui est le maître mot de nos relations sociales. Tant celles d’ordre interindividuelles que celles que doit imposer le groupe à l’individu ou que celles encore que doit développer cet individu pour être entendu du groupe, et ce dans la plupart des situations ayant un lien avec sa survie.
La Femme : « difficile d’accès, compliquée dans sa nature et vraiment pas simple à comprendre »… j’ai été rassuré le jour où j’ai appris (de la voix d’une femme !) que même entre elles l’incompréhension est chose fréquente ! Partenaire de l’homme dans la construction d’une société en constante mutation, la femme dispose d’une infinité d’atouts pour être actrice de cette construction. J’ai aimé à tenter de décrire quelques-uns de ces aspects au travers de ces prises de vues : emportées parfois subrepticement, et parfois avec la connivence d’un modèle…
Les femmes, les places qu’elles occupent :
La femme, sa plastique :
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.